DIPLOMATIE INTERNATIONALE & SOCIÉTÉ par Dan Albertini
- Trump : Moment de Gloire tant Attendu de Président Macron
Entre (). Ce n’est si César savait, mais si l’auguste l’eut pu. Historia is est, il aurait su entrer plus tard en ce monde de pouvoir. Quel privilège de régner sur la déchéance ! Fermons ().
S’il fallait se déterminer par la guerre co-déclarée d’une certaine presse washingtonienne ou new-yorkaise contre la présidence de Donald Trump, l’opinion éclairée ne se forgerait pas sur l’observatoire qui sait définir le Trumping en cours le temps de l’avant-016. N’étant pas moins que d’autres sur la tribune, ce béo-marchand de livres de Comey qui veut faire fortune avec du tafia vendu en overdose à la victime consommatrice de gin toxique sans tonic aurait pu éclipser l’événement pourtant significatif. Le toucher de la main d’Emmanuel, le baiser de Macron, la tendresse de Donald. Sans défense préméditée, je ne suis borgne de la tactique, mais accordons-lui le quartier de gloire tant attendu depuis l’après-Chirac. es neurosciences.
Est-ce là en défense de la présidence de Donald Trump qui par cette frappe syrienne fixe un béat, oui. C’est un principe, il est ici le chef aux commandes. Temps crucial hérité du vice caché du Butlerisme éculé. Alors, pour Emmanuel de Paris, acta est fabula. Verdict: carton rouge, mais contre qui, si ce n’est la menace ouverte de Vlad. Je ne sais défendre DT sans prébende versée ou salaire proposé à Rudy Guliani, ce serait un non-sens chez celui qui traite de Butler l’ex-HBO de la Plaza. Opinion éclairée, j’ai annoncé le Trumping en cours. L’ex–patron du KGB doit sourire de nervosité quand nous connaissons ses attaques au quotidien. Il ne suffit pas de grimper la limousine blindée comme on a tendance à le croire, chez lemiso, il faut être à l’épreuve. Plus que l’assurance de la trompette communiste, Bernie, qui s’est crue presidio tandis que l’âne lui épilait l’âme à domicile. Comey non plus, ne sait se mettre en vrac il sait se trahir, oh un tel chef qui resta encore en poste, taupe-démocrate mal fagotée. Le président Emmanuel Macron ne serait alors pas mieux reçu malgré le titre de César…. Une fois de plus, Moscou ne joue pas quand il perd des plumes ni quand il se sent rattrapé.
Le criminel russe déguisé en agent exogène est bien installé chez nous sous le couvert de l’agent d’information qui ne soulage pas quand il se sait observé. Quelle image, cet ex-Boss du FBI en ce temps crucial, on eut dit Gore/Romney-Ryan, trois gaffeurs réunis en un pour recevoir le président français, Emmanuel Macron en l’occurrence, au sommet de Césarée.
Tafia de lemiso, oui, car ça soule, comme l’histoire de la boîte à ragots arrangée en truc d’occase démocrate perdu. Si vous êtes fans de télésérie grosso modo de cinéma, le patron du FBI doit fatalement illustrer ce sommet d’intelligence avec capacité de synthèse au-dessus de la logique de Joe le plombier qui fait couler les histoires de cuvettes à Paris chez l’ex-GG du Canada. Macron épris de vacances au tapis rouge à DC a ainsi pris congé du communisme de Mélenchon et de la peine de région de Marine obligée par Bannon en grand renfort.
Ce n’est là l’envie de dérision d’un toucher de la main en aval puisque je parle d’un ennemi commun, de Damas à Téhéran croyant en Vlad malade non garantie. Je collige ici ma phrase de l’article publié le 25 du mois en cours (l’hebdo H-O) : c’est ici la faculté, la clé de mon appui avéré au Justin s’en va en guerre contre l’ennemi assassin de démocratie à Damas, la semaine dernière. Donald Trump, néanmoins, pas plus que le président E Macron de France, ne saurait en évoquant du Motier marquis de Lafayette, lieutenant général prêtant ses services à la nation naissante, obliger la notion suivante qui est la perte de cet héritage par Dessalines. Joseph Désidé Court ne saurait en repeindre l’illustre disparu du 20 mai 1834 sans lui enlever l’épée de l’immortel. La nuance fait défaut, dira le commentateur averti, mais l’on n’écarte pas une vérité. Même si, une fois de plus, H-O, DT n’est hélas pas l’eucharistie en vrac, la fausse modestie. Aussi, dira-t-on qu’il a su tordre la conjoncture Wikileaks. Ola Pardaillant !