DIPLOMATIE INTERNATIONALE ET SOCIETE Par Dan Albertini QUEBEC : LE CORONER BROCHU ASPHIXIE LA PENSEE D’INDEPENDANCE

Entre (). Si la Crimée souffrait de compétences locales bidons, elle ne pourrait se dresser souveraine dans sa volonté de référendum l’opposant à l’UE, aux EE UU, aux Ukrainiens et même aux Canadiens. Québec, incompétente indépendance ? Fermons les ().
Coroner Brochu, l’autre macchabé
Extrait de parenthèses : << Un cadavre embaumé…. Vivant, s’il était juge en Haïti, il devrait être constitutionnellement haïtien de naissance. Mort, s’il est au Québec, il était de toute évidence d’origine canadienne >>. Le Rapport final confirme Mtl.qc.ca comme lieu de résidence. << Si procédure régulière, donc des liens consulaires bilatéraux et de société. Imbroglio, alors il y aurait des relations diplomatiques sulfurées >>. Qui ne se rappelle du débat envenimé entre accusateurs et exécutif : Affaire du macchabé dans les bras du Coroner Brochu http://divainternational.ch/spip.php?article888. L’article avait fait vibrer la plateforme numérique globale. Enfin, un rapport final officiel, mais le Coroner Brochu commet l’impensable. Il passe au vitriol la pensée experte du Québec, avec un rapport tâché de négligence, de mensonge, d’incompétence. Le Québec a facturé $20 à la famille du défunt pour lui livrer un faux. Si l’acte d’indépendance ressemblait à ça, alors NON. Plus, la précipitation de publier. La compétition n’a pas pris le temps de réfléchir sur le contenu du rapport officiel, que dire de l’analyser. On a pu se dire aussi : ah, il est de naissance haïtienne, ça passera. Quelle République de faux propose Marois avec le nouveau Péladeau ?
Rapport d’investigation – Loi sur la recherche des causes et des circonstances des décès
<< La résultat de l’autopsie et des analyses toxicologiques permet cependant de conclure que le décès de Jean-Serge Joseph est le résultat d’une hémorragie cérébrale spontanée >>. << Lieu du décès/Déterminé. Hôpital Bernard Mevs. Municipalité du décès/L’Estère, dépt de l’Artibonite, Haïti >>. Les mots << La résultat >> et plus loin << le résultat >> puis, la << Municipalité >>, nous poussent à fouiller, puis, douter de la conclusion << Mort naturelle >>. Le Coroner Brochu finit ainsi son rapport : << Je soussigné, coroner, reconnais que la date indiquée, et les lieux, causes, circonstances décrits c\haut ont été établis au meilleur de ma connaissance et ce, suite à mon investigation, en foi de quoi j’ai signé à Montréal, ce 17 février 2014 >>. HBM est situé à : Blvd Toussaint Louverture, Village Solidarite # 2 after Haitian Tractor,  http://haiti.usembassy.gov/hospitals-in-haiti.html. Ce n’est pas tout.
Le coroner a accepté de mener une enquête sous les déclarations de la famille. Il y aurait mort suspect d’après la loi. Il a donc accepté le principe du doute et s’y est investi en enquête, d’après la loi. Une première phase dévoilait une hémorragie intra-parenchymateuse. La suite relevait de la toxicologie disait-il. Voilà la preuve de sa conclusion : << Circonstances du décès. Le décès de Jean-Serge Joseph est survenu à Haïti et lorsque les documents officiels concernant le rapatriement de la dépouille au Québec ont été transmis au soussigné, des informations lui sont également parvenues à l’effet que le décès était survenu dans des circonstances obscures. Toutefois, aucun document permettant d’établir avec certitude les circonstances ayant mené à son décès n’a été transmis au soussigné et de plus, il n’a pas le pouvoir d’ordonner qu’on lui remette un dossier médical détenu par un professionnel ou dans un établissement hors du Québec >>. Notons l’expression (à Haïti) à la place de (en Haïti). Mais existe-t-il une coopération technique entre Haïti et le Canada, conséquemment avec le Québec, d’autant plus avec Montréal en matière de valeurs municipales. Puis, dans le l’identification du Coroner, << circonstances décrits >> au lieu de ‘’décrites’’. Et, disant que Jean Serge Joseph a été identifié, tandis que décédé, c’est son cadavre qui a été identifié.
Le rapport fournit viole le principe des lois sur les compétences scientifiques, sur les fausses informations, sur les transactions financières, sur les institutions de l’état. Et du coup, rend le Québec péquiste : amateur, menteur et incompétent.
Notre petite enquête a été révélatrice. Avant tout, le rapport a été signe le 17 février 2014. La famille aurait été contactée par un journaliste à Montréal, il y a un peu plus de (3) semaines. Un quotidien montréalais aurait approché le Coroner. La famille aurait partagé des commentaires jusqu’au 10 mars, après avoir payé $20.00 selon la loi, pour obtenir le rapport. Nos calculs nous ont remis sur l’affaire le 10 mars, en formulant une demande formelle d’information le 11 mars 2014. Le Coroner a gardé le silence malgré nos appels durant la journée. La responsable des communications nous répond le 12, par retour d’email, mais après publication chez la compétition, et, après notre message lui faisant savoir notre intention de nous plaindre officiellement. Nous prenons en conséquence lecture du rapport officiel. Constat : le Québec péquiste s’inflige une peine par un rapport scientifique officiel dégradant et nul, comme avant propos d’un acte d’indépendance imaginaire.
Les (3) polémiques persistent, à savoir : nationalité, mort suspect, manipulation diplomatique. Brochu en rajoute une quatrième : incompétente, le Québec n’est fiable.
 
La polémique (1) renforcée : << Le corps est arrivé embaumé. Mais, la polémique s’enfle. Première polémique, Jean-Serge Joseph est décédé sous le titre de juge d’instruction haïtien en exercice >>. Le Rapport dit : << Municipalité de résidence. Montréal, Qc Canada >>. Le Canada avait-il délégué Jean Serge Joseph comme espion pour infiltrer ou, avec une mission spécifique en Haïti, au point de vouloir cacher des affaires ? Voilà ce que je disais en juillet 2013 : << Il finit par répondre à l’appel du cœur…, devint Juge d’instruction…. Juge haïtien au moment de cette autre polémique, sur la double résonnance, à cause d’un article de la Constitution >>. Extrait : << pas d’autre nationalité au moment de la nomination >>. Haïti n’a jamais élucidé cette affaire. D’autres, dans le même panier ?
La polémique (2) s’enfle encore plus. << Deuxième polémique, le constat de décès mentionne une hémorragie intra-parenchymateuse (ACV). La famille, un avocat proche du défunt : Mort suspecte >>. Le Coroner du Québec est je le rappelle, une entité médicolégale érigée en institution. J’ai évidemment défendu ce statut, même quand la famille mettait en doute le sérieux d’un rapport qui n’avait encore lieu. Léo Joseph soulevait aussi un profond doute sur la rigueur d’un prochain rapport final, dans le contexte d’une diplomatie canadienne triquée. Je m’étalais sur des faits pour repousser toute thèse anticipée. Le rapport officiel, Brochu signataire a menti à même son contenu. Il n’y a fourni de preuve de mort naturelle dans le rapport. Volontairement incomplet, par accident de compétence ? Bourré de fautes primaires allant de l’orthographe aux indices géographiques malgré la citation de l’acte de décès et la loi sur les circonstances.
La polémique (3) est désormais animée par Brochu lui-même. << Troisième polémique, rumeurs, diffamation, désinformation, manipulation politique, accusations grossières… >>. C’est en même temps la (4) : incompétente, le Québec n’est fiable. Si ce n’est de l’incompétence, c’est alors le mépris pour les affaires haïtiennes ou le résultat de potentielles pressions canadiennes à la manière Fantino, sur Brochu. Nous ne le croyons mais, Péladeau Republic est en soi une désinformation sur la composante du Canada.
Brochu. Non au rapport, au baratin. Il y a eu mort d’homme, et vous l’aviez acceptée suspecte. La cause du saignement telle que soulevée ne peut être complète en matière de circonstance, pour le docteur François à NY. Pourquoi pas une commission rogatoire, aller interroger sur place, recréer le parcours de la journée qui avait mené le juge à l’HBM, avant son décès. Circonstances. À moins que Brochu ne consente le fait qu’il soit de naissance haïtienne, donc le coût de cette commission est exorbitant. À moins d’avoir peur, soit du président, du premier ministre, pour les interroger, soit de craindre une réponse démontrant hors de tout doute qu’il y avait eu une rencontre en effet. Ce qui aurait pour conséquence une provocation. D’où l’ACV. Circonstance. Diplomatie canadienne oblige, donc soumission québécoise conséquente ? Non Monsieur, je n’achète pas ce ramassis payé aux frais du contribuable. Rappelez-vous de vos menaces au téléphone : << celui qui déformera vos propos aura affaire à vous personnellement >>. Allez, sanctionnez-vous !
Pourquoi et là où le Parlement a échoué ou, a vendu ses toges ? Question.
Monsieur le Président, vous êtes sous serment, répondez par la vérité. Aviez-vous rencontré (croisé), le Juge d’instruction de son vivant, à l’étude du conseil d’avocat de votre famille ? Monsieur le Président, étiez-vous en compagnie de votre Premier Ministre, Laurent Lamothe en l’occurrence, lors de la rencontre ou de l’une des rencontres avec le Juge d’Instruction ? Monsieur le Président, où étiez-vous le soir où le Juge d’instruction aurait par hasard rencontré votre conseil d’avocat en compagnie d’un autre Juge ? Monsieur le Président, pouvez-vous fournir un témoin qui peut certifier que vous étiez avec lui, ailleurs, le soir de cette rencontre présumée ? Alors, Monsieur le Président, aviez-vous contribué à mettre en colère, le juge d’instruction lors d’une rencontre quelque part ou, lors d’une rencontre chez votre conseil d’avocat ? Monsieur le président, jugeriez-vous inadéquat une telle rencontre, en fonction du secret de l’instruction, en fonction de votre devoir de protéger la constitution, ou, en fonction d’un mensonge forgé par votre premier ministre dans le but de vous protéger ?
C’est au Président de dire la vérité et non à nous de l’en accuser au préalable.
Le raisonnement DSK appréhendé à New York. Puisque nous sommes à travers plus d’une frontière, profondément à l’intérieur d’une complexité diplomatique, j’aimerais le voir ainsi à NY, par devant Cyrus Vance Jr. ou Kenneth P. Thompson, tenir ce langage de spécialiste : << La résultat de l’autopsie et des analyses toxicologiques permet cependant de conclure que le décès de Jean-Serge Joseph est le résultat d’une hémorragie cérébrale spontanée >>. Même pas léger dira-t-on d’un coroner. Provoquée par quoi ? Peut-être que les dernières épisodes de NCIS me donnent beaucoup de vertiges mais vous ne passerez pas ainsi l’examen de NYC.
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