LE RISING SUN FESTIJAZZ ou la Diplomatie volée du Jazz de Boicel

DIPLOMATIE INTERNATIONALE ET SOCIETE
LE RISING SUN FESTIJAZZ ou la Diplomatie Volée du Jazz de Boicel – Par Dan Albertini

Entre (), el-Sisi un monstre pire que Assad, qui saura ? Tout le monde sait ce qui va se passer dans un an avec cette sédition déshumaDoudouBoicel5nisante légalisée. Israël croit-il trouver sa paix dans ce recul égyptien islamophobe tandis que le Sionisme se profile dans le droit religieux ? Attendons-nous sur la ligne d’arrivée. Quand le monstre aura terminé son œuvre local. Gageons, el-Sisi nourrit, là, son p’tit revers international. Fermons les ().

photo : la journaliste Francine Grimaldi et le représentant haïtien Aubelin Jolicoeur au Rising Sun

RSFJ. Ni hasard ni rendez-vous, un nouveau contact édifiant jeudi dernier. Je croise l’animateur culturel Fritzberg Daléus cité dans l’article précédent. Finfin de sobriquet. Il dénoue les circonstances de l’avant incendie du Rising Sun. Essayiste multidisciplinaire dans ses états d’âme, il est JE. Développe avec le langage de conteur. Connaissance de parcours, rencontre Doudou Boicel à Montréal. La passion du détail mis en raccourci. Troubadour, moins bruyant que ces gros canons du Black Jazz Int, il ne lui manque pourtant l’élément de surprise. Anecdote, décembre 2010 ! Finfin surprend d’un rap approprié chez sa fille. Cet homme se constitue témoin d’une diplomatie du Jazz volée de Boicel. Il le certifie avec la précision 63’ des quartiers de Bas-peu-de-Chose, P-a-P. C’est un creuset socioculturel et artistique qui influence, c’est la référence du voisinage. D’où quartiers. Une recommandation sort tout de go : « Prends soin d’enregistrer ». Il greffe : « Fais attention, ces gens sont capables de tout ». Il quitte la place et je rentre. Je relis alors le titre en lettres dorés : « l’Histoire du Rising Sun », sous-titre, même équinoxe : « Et ses Légendes Jazz & Blues ». Je me rendors dans mon safe house retenue depuis mon retour à Montréal. Le suis-je réellement. Finfin résonnent in extenso. Je me réveille. En effet, si ce n’est l’ambassade étrangère qui brûle à Bagdad, celle du Jazz a brûlé à Montréal, sans Etat ni état d’âme. Signe des temps, le consul honoraire en est instruit.

Si vous allez aux Hautes Etudes Internationales ou dans une autre faculté d’équivalence, les ouvrages de Boicel ne sont les poumons par qui respire la diplomatie. Cependant, il est invité à se prononcer au profit de recherches de doctorant à l’université dans ce même Montréal où Boicel est proscrit par le Montreal Jazz International. J’ai en main la page arrachée hier soir d’un quotidien gratuit, je lis : « Le 36e Festival de Jazz dédié à B.B. King ». On vante Guy Nadon, Mathieu Dézy, mais Boicel brille par son absence chez Jessica Emond-Ferrat. Même entre parenthèses. Je retourne aux études,  rouvre l’ouvrage de Boicel. Jaquette noire, lettres dorées. Je consulte. En P.170, le fait est indéniable, la photo est immortelle. L’encre est indélébile. « L’empereur du Bleus casse la glace ». Le poster de Rising Sun festijazz Été 78 s’y trouve aussi, photo du King à l’appui. Mieux, en juillet aussi. Une plaque sur le mur, The Creating Great Theatre lui présente le Dr. Martin Luther King Jr Award pour sa précieuse contribution en faveur du développement des arts performants de la communauté des Noirs du Canada en 2011. 2004, The Central Brooklyn Jazz Consortium lui présente la plaque The Founder Awards. Les références sont légion. Rien dans l’article ne sue pourtant Boicel. La littérature est un prétexte aujourd’hui pour le Québec de Dany, surtout quand Péladeau se fait m’as-tu vu. L’école Nationale de Paris a bien plus servi que les Nabis, chez Dag dag (Hammarskjöld) dans l‘érection de sa courte carrière aux Nations Unies. On parlera de la diplomatie culturelle de Malraux en France, et j’en passe. Toute une diplomatie s’y est développée, même autour du ballon rond (FIFA). Mais, Montréal vole celle de Boicel pour la rendre à d’autres. Fils de qui, reste à savoir ! Néanmoins, si les enfants de Plante se taisent, y a-t-il enquête en cours avant de délibérer ?

Quelle importance dans les relations internationales ? Rappelez-vous de Clinton chez Arsenio Hall Show avant ses deux mandats présidentiels. N’est-ce pas sa piste préférée de relations de promotion, même si cachée dans l’Haïti de Martelly enfant calqué du CNG ? Diplomatie, Jazz, ça commence à pétiller encore plus dans mes pensées. Rencontrer cette référence sans arrière-pensée mais, dans le sens d’une histoire montréalaise bigarrée, cela a du sens car la société au grand complet y a pris rendez-vous. Cet été au coin de ce qui est devenu le premier carrefour de relations internationales du Jazz à Montréal. Boicel entre temps taille sur mesure son costume de gala. École !

Entre doute et besoin, une école de relations internationales s’érige. Je me rends une fois de plus à la résidence officielle de cette diplomatie du Jazz volée. D’autres surprises m’attendent. Le créateur possède une littérature interdite, une poésie sérieuse, une palette historique mais intéressée à la femme nue. Une cuisine, des recettes. Il ne mélange. Pas d’amalgame même s’il raconte le fruit de sa progéniture. Un premier fils, Alex Boicel. Afromondo Productions, il est nommé ambassadeur pour la paix des Nations Unies. Accompagnateur et entrepreneur dans l’organisation de festivals internationaux. Un second fils d’où rentre en gare Grace Boicel. Celle qui dessine vos Nokia en Chine. L’auteur a fait école dans sa propre famille, défiant le proverbe « nul n’est prophète dans son pays ». Diplomatie, relations internationales, rapports culturels, les incendies n’ont tout emporté. Sa thèse renferme de l’économie sans détour, une formation pour une fonction consulaire dit finfin.

Donc, l’économie de Montréal Internationale. On n’en parle pas, le politique non plus. Montréal paradoxal quand le maire en fonction, habitué aux relations internationales, vend son budget de rencontre internationale de maires du monde, mais ignore la diplomatie de Boicel. Car, elle contient des éléments d’incendie criminel contre le développement du sujet. Silence, on parle déjà de génocide culturel des Amérindiens au Canada. Trop c’est trop pour un pays qui pourtant critique Vladimir Poutine du G7. Une idée me vient en tête, pour se résilier lui-même sans le savoir peut-être, car c’est Brian qui de son ami Reagan, qui nous y avait introduit dans ce G….

Ce n’est le temps de conclure, Boicel loin de sa littérature interdite nous relate des dessous, comme dans les histoires de Dag dag à la sauce Fernand Legros : « le lit du Rising Sun ». Des journalistes au menu.

lovinsky2008@hotmail.com