De la gifle à la ritaline : aveux d’impuissance et crimes d’incompétence
Le principe des châtiments corporels en tant que moyens éducatifs ne sera contesté que vers la fin du XVIIIe siècle, avec l’apparition d’une nouvelle vision de l’enfant qui sera considéré désormais comme une vraie personne en devenir, porteur d’une humanité et d’une sensibilité réelle et en tant que tel, un sujet digne de respect. Dès lors, l’éducation aura pour objectif de lui permettre de réaliser ses potentialités, par opposition aux moyens coercitifs et de dressage qui étaient le lot…