COVID-19 Chapitre [CAN] 100 Protection au Québec

DIPLOMATIE INTERNATIONALE & SOCIÉTÉ par Dan Albertini

  • COVID-19 Chapitre [CAN] 100 Protection au Québec
  • Entre (), non ce n’est pas l’apocalypse décrite de la foi, c’est la crise. Fermons-les ().

Sécurité Publique, mesure exceptionnelle, pays avancé, gouvernement minoritaire démocratique élu, mesure d’urgence, gouvernement secondaire. Voici du Canada de Justin Trudeau au Québec de François Legault, le portrait du citoyen électeur. Il a fait l’objet d’un abandon synonyme de mépris politique d’élus folkloriques dans l’histoire du dangereux virus qui tue. C’est l’histoire du COVID-19 qui fait de nous Canadien, le citoyen CAN[COVID-19]100-Protection. Constat : manque de masques de protection sur les étagères en pleine mesure d’urgence, une crise à venir qui dépasse Oka-la-rebelle des rails. L’envahisseur est-il dépassé par le virus qui gagne dans l’espace ?

Les avis de l’OMS sont d’alarme croissante depuis la conférence du 20 janvier 2020. La nonchalance canadienne franco-Québec fait craindre le pire quand on ne sait pas si celui ou celle qui rentre et/ou sort d’une ville à l’autre, et même d’une maison, est un porteur sain, un cas suspect, un citoyen à risque, un cas non déclaré. Pourquoi ?

S’il existe des instruments tels que : alcotest/cannabis pour coller le ticket du constat d’infraction par barrage routier, pourquoi ne pas coordonner la même surveillance de la ville intelligente avec les équipes médicales mixtes concernées afin de filtrer le cas de porteurs avec les symptômes apparents suspects, comme lors d’un triage à la salle d’urgence ? Lui remettre un kit pratique d’information sécuritaire et un paquet de masques respiratoires et de gel sanitaire pour le sensibiliser, comme l’une des voies appropriées. Le temps politique est à la négligence, à l’incohérence caquiste.

La prévention se fait au niveau de la vente de la tombola afin de décourager les gens à sortir, tête de mule dira-t-on, mais les pharmacies du groupe Jean Coutu, par exemple à Brossard est-elle à risque puisqu’il n’y a de solution désinfectant pour les mains, sur les étagères ni pour le personnel servant ou le client touchant à la porte. Surtout quand il s’agit de remettre la monnaie et partir sans se laver les mains.

Plus encore, les patrouilles à deux de la police et à moins de deux mètres de distance dans la même voiture fermée ventilée sont sans masque de protection.

Pénurie, négligence ou tout simplement est-ce le racisme systémique qui ne se croit pas sous la menace de la chose asiatique chinoise comme le soutient Trump ? Le masque 3M qui retient les particules, même pour l’industrie de la construction ou autres concernées, n’existe plus sur les étagères pourtant nombreuses dans un pays avancé. Dit avancé !

En fait, le citoyen en santé n’existe plus sur la planète hébergée Legault-[Trudeau], aux bons soins de Blanchet du Bloc Québécois. Il y a péril en la demeure.

Justin aurait-il peur de l’armée déployée au Québec avec un autre Trudeau, ou d’une nouvelle crise d’Oka. Mieux, d’être concerné par la vie de l’électeur ? Sinon, attend-on comme au temps de Kouchner, en France, en été 2003 lors de la canicule [pour laquelle la France prétend avoir tiré des leçons dans un document sénatorial], que le citoyen meure en grand nombre pour le croire ? Comme en Italie !

Simulons un effet routier sur le boulevard Taschereau sur la Rive Sud de Montréal. Mieux, dans l’un de ses contrés avoisinants, Brossard-La prairie. Un cas suspect non déclaré c’est-à-dire un porteur sain rentre en collision avec un autre non atteint. Une blessure ouverte requiert des soins médicaux immédiats.

Simulation-I. Transféré à l’hôpital le porteur sain passerait-il positif un test de routine après le premier contact (accident) ? Trois jours plus tard, les symptômes apparaissent. Que dira l’autorité de l’État après avoir bénéficié des salaires primes de risques et per diem de la crise ?

Simulation-II. Un malaise du porteur démontrerait ce cas suspect. La police, les ambulances, etc., sont sur la scène. Le conducteur serait sorti d’une ville à l’autre sans le savoir puisqu.uil n’y a aucun contrôle routier par des équipes spécialisées puisque nous sommes en mesures déclarées État d’urgence.

La simulation démontre en fait que le porteur sortait d’un milieu contaminé non diagnostiqué ni recensé, a traversé peut-être un dépanneur ou autre genre de commerce, et allait le répandre encore plus loin. Il n’y a plus de masques, de gel, ni d’alcool pour se protéger des contacts.

Autre simulation. Combien de bâtisses de (48) logements par exemple, dans un ilot de plus de (9) unités, non seulement n’entretiennent plus l’hygiène dans les couloirs depuis la crise, mais n’installent pas le dispositif de gel ni de liquide désinfectant aux côtés des portes d’entrée et de service ?

  • Qui est donc protégé au Québec tandis que l’on sait depuis les cas déclarés en Chine que le virus était très volatile. On l’a confirmé depuis les cas en Italie et en Iran par la suite. Rio et Paris… etc., le gouvernement de François Legault est-il coupable ? Est-ce une négligence grave, pire celle qui a été vécue lors de la canicule en France en 2002, qui a tué tant de gens vulnérables ? Rappelons-nous, il réclamait de Justin Trudeau à Ottawa, des mesures aux frontières. Legault savait. Les interrogations pleuvent.
  • Où est donc l’armée, ses équipes spécialisées, en guerre ailleurs au monde contre un ennemi préfabriqué ? Où sont les gens de la sécurité publique au Québec, les effectifs pour surmonter les crises ? Car, on savait.
  • Où sont les consignes afin de mieux s’orienter vers le système de santé en temps de crise, en train de critiquer Pékin peut-être ? Quelle est l’utilité de Blanchard du Bloc ?
  • Pas de lieux de ravitaillement d’urgence/de crise pour une question de sécurité dont l’application obligatoire est de sécurité nationale. Polit-négligence, François Legault en est-il conscient de la crise sous-estimée en abandonnant la sécurité au hasard ?

Considérons les matières vitales

  • Eau, car il faut humecter les lèvres, le palais d’après les conseils prodigués. Limiter le déplacement en plus de ne pas créer la panique ni un sentiment d’anxiété accrue qui peut provoquer d’autres crises collatérales. Où alors s’approvisionner en eau ?
  • Papier-mouchoir sécuritaire. L’alimentation et l’évacuation sécurisées afin de couper la chaine de transmission depuis la réutilisation par le sac isolé certifié. Où sont les autorités sanitaires compétentes, quelle est la situation réelle ?
  • Masque, pour le comportement minimal au domestique. Nous ne savons pas encore si dans l’habitation les membres de la famille ne conjuguent pas les risques, tout le monde ayant été exposé depuis le début : conversation rapprochée, considération intime. Nous sommes dans un pays de réutilisation de seringue, et le masque ?
  • Produit alimentaire essentiel, l’approvisionnement de personnes en mobilité réduite, de personnes démunies fréquentant les soupes populaires/comptoirs alimentaires, les démunis (ils sont les plus vulnérables, les plus à risque en matière de propagation involontaire du virus) par l’organisation de services sanitaires de la sécurité publique du Québec, de l’Armée canadienne. Car la privation favorise la délinquance.

Quarantaine

  • Identification citoyenne de sécurité publique de résidence contaminée interdite de visite, en quarantaine. Mesure vitale afin de ne pas multiplier les foyers contaminés.
  • Éducation populaire, l’utilisation de couleurs dans la gamme de produits d’isolation le masque par exemple avec le référent de perméabilité, le vêtement d’isolation, le facteur cardiaque, les soins généraux (blanc, jaune, rouge, bleu, orange… etc.).
  • Limitation en observation et sous contrôle par exemple de ceux qui possèdent des animaux domestiques chez eux, répertoriés par la SPCA, car le facteur animal y est considéré, et que les lois d’urgence priment sur le droit de possession d’une espèce à risque pour la sécurité publique. Nationale !

Il n’est pas question ici le cas de ce besoin de se comparer, mais de simuler en temps réel un cas que l’on sait tous de plus en plus mortel lorsque pris tardif. Si l’on se demande ailleurs si l’OMS avait écouté la version préventive taïwanaise tandis que l’on se dresse d’inconscience en ne se posant pas la même question ici au Québec. Si le Canada avait écouté les victimes d’Italie au moins. Le monde se découvre à merci du comportement de prétendus leaders comme Bolsonaro au Brésil, Trump au É. U., nous on le comprendra peut-être trop tard avec un premier ministre tel que François Legault (Québec). Fallait-il attendre vraiment tout ce temps pour une loi de mesures d’urgence tandis que le déploiement minimal sur la prévention n’a pas été fait ? L’apocalypse est bien réelle même sous une autre forme que le feu de la Bible quand le premier ministre invoque la prière à Dieu comme politique de responsabilité.

Sommes-nous dans l’exagération ici ou dans le délire dans un domaine où il ne peut y avoir de contrôle ? Je retiens l’exemple de fonctionnement étatique préventif de l’État d’Israël qui procure des masques à gaz en cas d’attaque chimique, qui assure une pédagogie citoyenne en cas d’attaque armée, de lancement de projectiles, d’explosifs… ce depuis plus d’une décennie avec les sirènes en fonction d’une réalité dont on a vu l’État passer de l’aspect d’observation et de constats en passant par la réaction jusqu’à la simulation en temps réel à la maitrise au sein de la population et en termes de préparation de l’État dans ses fonctions vitales.

Bilan : le gouvernement est-il dans l’improvisation à Québec ?