La Métaspora à l’IUSMM

DIPLOMATIE INTERNATIONALE ET SOCIÉTÉ, Par Dan Albertini

Entre (). Un test en rétrospection de l’invasion de l’Irak de Saddam mettrait-il en relief : maladie ou santé mentale, de qui ? Le CPI estime que Powell a menti 935 fois. Jeb Bush candidat, il affirme l’échec Obama sur la notion d’un retrait prématuré. Fermons les ().

Le Métasporien : problématique ou santé mentale ? Prix littéraire multi récidiviste invité par la présidence pour intronisation d’immortel à Paris. Prix du MLA pour Métaspora. Consultant es sciences, Des Rosiers est en croissance outre-frontière pour présentation et consultations. Rive Méditation comme le dalaïlama, c’est une autre réputation à convoiter pour ce chercheur. Métaspora serait l’antithèse de l’ouvrage de Beauregard, Les pouvoirs de la conscience qui suggère hors-sciences, une troisième présence non matérielle. Mais dont la réponse se trouverait dans un autre ouvrage : Du cerveau à Dieu, en co-auteur avec Denise O’Leary. Si Métaspora est représentée par un torrent de relations internationales à l’intérieur d’un seul et même individu, il n’est par contre une diplomatie de Frère musulman contre Frère sacré-cœur. Mais, le parano contre la santé mentale, à l’IUSMM. Une fois de plus, Rémi Quirion PhD a raison. Ce branle-bas de combat pour ce besoin québécois de financer la recherche scientifique fondamentale est justifié. D’où notre motivation, Montréal a aussi besoin de digérer le théâtre intégrateur de l’ASAP, comme un besoin bien plus large que les bas-quartiers de Saint-Michel.

L’affaire ici ne consiste pas à descendre Métaspora en faveur de la Santé Ambition. Au contraire, c’est bien là la richesse de l’IUSMM, cette diversité, cet écart, pour la compréhension des recherches scientifiques. Beauregard plaide un chercheur libre non subjectif. Le mystère à élucider est-il encore au stade du constat de la complexité du Métasporien comme citoyen de la cité. Dite intelligente. D’où la question au triage de notre observatoire : régressera-t-il vers l’État-Saint-Jean-de-Dieu ? A contrario l’IUSMM renverrait de préférence, des citoyens aptes à fonctionner, dans cette cité intelligente. De là l’importance du chercheur appliqué tel que Dr. Lesage dans ses ambitions. Si l’alvéole de l’IUSMM peut ainsi produire de ce miel, l’OMS ne saurait l’ignorer mais en répondre à cette quête de label. Mieux encore, il serait peut-être le temps pour cette organisation globale de passer sous la férule d’une autre dynamique qui voit la solution comme moyen de développement du macrocosme. Au lieu du mensonge évoqué dans les parenthèses.

C’est aussi là une dimension de relations internationales à l’IUSMM, par sa Santé Ambition dans un monde global métasporien. Ce n’est une métaphore symphonique qui harmonise constats et ambitions polyphoniques car nous voyons en Métaspora une antithèse de la Santé Ambition. Mais c’est déjà bien mieux que, tel que nous le disions il y a de cela plus d’un an. Mieux que l’ALENA schiyzomorphe éconduite par Harper qui ne propose que le déséquilibre de la cité globale qu’est le Canada. En induisant la radicalisation là où le terme ne s’applique, le germe lui ressemble en fait. Disons-nous humoristiquement, il ferait bien suivre en théâtre intégrateur à l’ASAP, accompagné de frères arabes, pour mieux s’entendre au Canada. Oh, l’affaire Brazeau-Duffy.

Restons malgré tout concentrés sur l’utilitaire car, il faut bien discerner l’association du Q-I avec le Théâtre Intégrateur initié, développé et pratiqué par Éternel Victor à l’ASAP. « Le défi du Hacking Health Design, c’est quoi » disait la présentation de f. & co, au Forum. Création et instantané étaient au rendez-vous pour « développer des solutions innovantes à des enjeux de santé réels soumis par des professionnels de la santé et des patients ». Si le rapport est la santé et ses besoins, c’est en relation un problème, une maladie. C’est faire simpliste que de tendre à dire, que la valeur de cet atelier multiplex, dans sa présentation, concourrait avec celle de Rémi Quirion en causerie, sur l’étalage de la journée. C’était pourtant le cas car, cet atelier était la démonstration en direct et un condensé de tout ce que voulait dire l’innovation ce jour-là. Quirion était en relation avec la quête de la recherche. Je me plais à soulever ici, l’élément du Théâtre de l’opprimé de A. Pinto Boal en Amérique latine. Où dans l’instantané, les arts sont au service de l’innovation en milieu populaire et de répression politique. Qui peut douter de ses effets avec une telle réputation crainte à DC, qui a traversé l’Europe aussi.

Cependant, la relation de Boal était avec l’oppression politique surtout contre les démunis. C’est avec cet œil averti qu’il faut observer le travail du Théâtre Intégrateur de Victor Éternel à Montréal, quand il produit « Comment ne deviennent-ils pas délinquants » dans un milieu réputé comme incubateur de ce mal. Là, il est en relation avec les Services Sociaux et la Sécurité Publique. Ou, quand il produit « La peste du siècle » autour de la problématique du SIDA dans une communauté qui était réputée pour ses comportements à risque au point d’hériter d’un cliché raciste (qui a été rectifié). Était-ce la véritable motivation qui a fait transmuer GAP-SIDA en GAP-VIE, c’est un débat peut-être trop évolué. La relation de ce théâtre-là était avec un grave problème de santé. La récente expérience avec l’IUSMM est ainsi hyper ventilée, tenant compte que l’éducation et la culture y sont concernées quand ce théâtre forme le bénéficiaire pour des troupes de théâtre professionnel ou, pour le casting professionnel, avec un score impressionnant.

Si l’on veut bien comprendre la singularité des pouvoirs de la conscience de Beauregard dans son ouvrage, il faut accepter le fait que ce théâtre a outillé bien plus qu’un individu pris avec une problématique, pour bien l’intégrer dans la cité. Quirion plaidera encore le besoin de financer la recherche au Québec. Car, le Théâtre Intégrateur d’Éternel Victor à l’ASAP est financé par le MSSQ à hauteur de 11 000 dollars comme budget annuel récurrent. C’est ridicule au point de se demander aussi dans ce ridicule qui ne tue pas, si le fonctionnalisme du MSSQ ne mérite pas une visite en théâtre intégrateur pour mieux comprendre les enjeux. Il faut en ce sens revenir tant sur Lesage que sur Victor dans cette relation IUSMM-ASAP, pour la prévention étendue à cette anti-radicalisation prônée par Montréal-Québec. Pourquoi ne pas proposer ce théâtre thérapeutique pour mieux intégrer la clientèle à risque ciblée issue de relations internationales fragiles ? C’est encore un aspect intégrateur qui résoudrait la problématique de la Métaspora patrie intime latente cachée suspectée, au lieu de laisser se créer un faux problème. La Santé Ambition devrait y glaner pour ne pas laisser aller se créer ce kamikaze.

Comprendre l’audace Lesage dans son champ d’expertise. Beauregard conseille au chercheur de ne nourrir de subjectivité, conseil qu’il base sur d’étonnantes expériences citées. Le yogi défiant la notion de la mort clinique, l’EMI/EHC vécues par une femme cliniquement morte. Des recherches libres sont donc interpellées à un niveau dépassant le cadre de références institutionnelles. C’est là aussi la spécificité de la clientèle haïtienne observée, étudiée, pour certaines facultés. Momplaisir explique comment on l’avait par ignorance, assimilée à une pathologie. Autres pertinences de Métaspora. Le Dép. Psychiatrique du JGH/Montréal aurait d’après certaines sources consultées, élaboré des études approfondies sur ce sujet-là, autour des années nonante. Dr. Aroll Exama PhD (chercheur canadien/biochimie appliquée) démystifie l’erreur de Socrate dans un ouvrage et réexplique Darwin mal interprété par la faute des évolutionnistes, dans un autre ouvrage. Il nous a donc fallu comprendre Lesage dans son audace en revisitant ce qui appert d’une thématique apparentée, dans la notion de création d’un cinéma haïtien mondial où, le triomphe de la volonté, comme unique défi. C’est à l’Institut Philippe-Pinel que nous avons encore trouvé les traces d’une clé des recherches et applications de Lesage. Le module ARVIPL (Réalité Virtuelle en Psychiatrie Légale) qui associe entre autres neurosciences et génie logiciel multimédia. Paradigme ou tributaire de ce que Beauregard explique par les laboratoires de neurofeedback. Ce qui se passe en temps réel dans une simulation du théâtre intégrateur de l’ASAP avec une clientèle diversifiée. Lesage expert aurait-il découvert que ce champ d’expérimentations scientifiques légales poussées en termes de recherches et d’applications, se passe en accéléré, en temps réel, simplement sous le chapeau de l’humanisme, à l’ASAP ? Ce que lui aurait refilé Dr. P. Migneault, psychiatre retraité en immersion dans la culture haïtienne, occasionnellement en visite avec son ami Petrovski (communicateur) ? Pensons-nous alors que dans ce cerveau haïtien, la pratique de cette réalité virtuelle se passe par la création progressive de l’image déclenchée par un son, tellement assimilée à l’apparition de la déesse, expliquée dans Claude Dauphin (théoricien), c’est un autre débat mais non sans relation.

Dr. Lesage est donc un autre paradigme de l’atelier de 15H30 dirigé par R. Quirion PhD, qui modulait sur le futur de la collaboration entre la santé et les industries créatives comme mission collective. Ensuite, à la thématique : comment la créativité peut-elle influencer les comportements, présentée par Scott Connolly de Population Media Center (US-Vermont). Puis, pour qui Cossette lance son observatoire santé : l’Art à l’hôpital pour de nouvelles perspectives avec le patient. Comparaison, celle : Guérir dans des environnements inclusifs. Pattern touché par l’ASAP. Était-ce là l‘expérience de l’ASAP en collaboration avec l’IUSMM sous la direction de Dr. Lesage, en avril-juin dernier, avec une clientèle psychotique ? Un champ d’application du Théâtre Intégrateur de l’ASAP. L’IUSMM représenterait donc plus qu’une hypothèse de l’axe (1) d’une nouvelle diplomatie montréalaise, en parallèle avec médecine et oncologie cubaine. La cité est donc une priorité de financement comme alvéole où il faut y prêter une attention particulière. Sinon, la santé mentale sera un terme palliatif pour camoufler en psychiatrie.

Conclusion. On a parlé de santé, de sciences, de politique, de patrie intime, de théâtre intégrateur, d’innovation, mais surtout, de relations internationales. Le rapport est évidemment éprouvant. Mais nous avions spécifiquement parlé de santé ambition aussi, comme thématique. En 2010 après le violent séisme en Haïti, J’ai rencontré Dr. Henriette Chamouillet (Coordonnatrice de l’OMS en Haïti), en conférence de presse au Nations Unies à Genève. L’ordre du jour a été rattrapé par la question de la santé mentale, en termes gestion post traumatique. Si Haïti traverse une crise grave du fait de la carence de spécialistes du domaine, l’IUSMM-ASAP serait une piste expérimentale à explorer.

lovinsky2008@hotmail.com


Remerciements

Je souligne impérativement l’importance du précieux appui logistique plus qu’un concours de circonstance. Yvrose Amazan (M.Sc.Inf., C.G.R.H) a hébergé chez elle la rencontre. Elle a facilité cette série avec Dr. Lesage qui nous a accordé l’entrevue. Elle est aussi à la base de la connexion ASAP-IUSMM-Pinel. Ce qui met en relief cette expertise qui vient de l’ancienne dénomination. Alliance Théâtrale Haïtienne initiée par un chercheur dit exogène, Éternel Victor. Lieu de la rencontre initiale avec Yvrose Amazan qui en est l’actuelle présidente du CA.


références: La Santé ambition de l’IUSMM, Relations Internationales à L’IUSMM